Patrice Schreyer et Alexandre Caldara - alOne
du 10 mars au 10 juin 2012
les nouveaux paysages de Patrice Schreyer deviennent des visages recouverts, accompagnés de tissus, des gisants bien vivants qui regardent voilés, les mots d’Alexandre Caldara s’enroulent autour de ces voyeurs empêchés, visiteurs du soir à la naissance secrète, pour délirer ou simplement poursuivre le mouvement du corps photographié.
deux traces chancelantes sur des murs (comme de neige, comme de papier, comme de bandes sur la peau), des murs qui mutent et changent d’identité.
alOne, avec ce gros O au milieu, seul et joueur, alOne à qui il ne manque que trois lettres pour trouver alCAPone, alOne à l’orée de la solitude et du vacarme.